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LES PETITS POINTS DE BABOUPATCH
6 septembre 2012

quelques lectures à partager....

 


Quelques lectures à vous faire partager….
Les derniers ouvrages que j’ai eu le plaisir de découvrir….

Quelques livres empruntés dans les cercles de lecture :

L’OBSESSION VINCI de Sophie CHAUVEAU

Qui était vraiment Léonard de Vinci ?
On connaît l'inventeur virtuose, le scientifique précurseur. mais qu'en est-il de l'homme, des ressorts de sa créativité ? Des bas-fonds de Florence à la forteresse de Ludovic Le More, des campagnes guerrières de Borgia à la cour de François Ier, Léonard veut tout connaître, tout essayer, tout explorer.
Sa ville, Florence, le boude. Rome le rejette. Venise se méfie de lui. Pourquoi ? Quelles relations eut-il avec ses pairs, Michel-Ange et Botticelli ?
Sophie Chauveau nous raconte la vie de Léonard de Vinci avec la rigueur et la puissance narrative qui ont fait le succès de La passion Lippi et du Rêve Botticelli. Elle rend ainsi hommage aux artistes qui ont, il y a cinq siècles, conquis leur liberté. " Le siècle de Florence " s'éteint avec le plus mystérieux d'entre eux.

Le rêve d'Amanda Ruth de Michelle RICHMOND

Le rêve d'Amanda Ruth était d'entreprendre un voyage en Chine sur les traces de ses ancêtres jusqu'à l'un de ces vieux villages, le long des rives du Yangtzee, sur le point d'être alors engloutis par la construction du colossal barrage des Trois-Gorges. Mais ce voyage, Amanda Ruth ne le fera jamais car elle a été mystérieusement et sauvagement assassinée à l'âge de dix-huit ans dans sa petite ville de l'Alabama...
Quatorze années ont passé. Jenny, son amie d'enfance, remonte le Yangtzee avec les cendres d'Amanda dans une boite en fer rouge afin de les disperser non loin des Trois-Gorges. Mais, lors d'une chaude nuit d'été, sur le pont du navire, pendant que dans sa cabine dort Dave, son mari négligent, Jenny fait la connaissance d'un charmant et insaisissable voyageur qui bouleversera son avenir...
Et tandis que, dans le décor majestueux du grand fleuve chinois, le bateau de croisière laisse derrière lui villes anciennes et villages abandonnés, Jenny fait aussi un voyage intérieur vers un passé qui la hante. Elle songe à Amanda, à sa sensualité et aux secrets qui entourent sa mort. Et tout en se laissant submerger par des souvenirs empreints de tristesse et de nostalgie, elle fait surtout le choix de réorienter sa vie...
Roman sur l'amitié au féminin et les aléas du mariage, roman de l'émotion, de la culpabilité et du désir, Le rêve d'Amanda Ruth explore cette interminable envie de maîtriser ce qui n'est pas maîtrisable.

Rentrée littéraire : un superbe premier roman, je pense que l’on va en parler d’ici quelques temps….
la déesse des petites victoires de Yannick GRANNEC

"Université de Princeton, 1980. Anna Roth, jeune documentaliste sans ambition, se voit confier la tâche de récupérer les archives de Kurt Gödel, le plus fascinant et hermétique mathématicien du XXe siècle.
Sa mission consiste à apprivoiser la veuve du grand homme, une mégère notoire qui semble exercer une vengeance tardive contre l'establishment en refusant de céder les documents d'une incommensurable valeur scientifique.
Dès la première rencontre, Adèle voit clair dans le jeu d'Anna. Contre toute attente, elle ne la rejette pas mais impose ses règles. La vieille femme sait qu'elle va bientôt mourir, et il lui reste une histoire à raconter, une histoire que personne n'a jamais voulu entendre. De la Vienne flamboyante des années 1930 au Princeton de l'après-guerre ; de l'Anschluss au maccarthysme ; de la fin de l'idéal positiviste à l'avènement de l'arme nucléaire, Anna découvre l'épopée d'un génie qui ne savait pas vivre et d'une femme qui ne savait qu'aimer.

Albert Einstein aimait à dire : " Je ne vais à mon bureau que pour avoir le privilège de rentrer à pied avec Kurt Gödel. " Cet homme, peu connu des profanes, a eu une vie de légende : à la fois dieu vivant de l'Olympe que représentait Princeton après la guerre et mortel affligé par les pires désordres de la folie. Yannick Grannec a réussi, dans ce premier roman, le tour de force de tisser une grande fresque sur le XXe siècle, une ode au génie humain et un roman profond sur la fonction de l'amour et la finalité de l'existence."

Pourquoi être heureux quand on peut être normal ? de Jeanette WINTERSON

Dans Pourquoi être heureux quand on peut être normal ?, sorti en Angleterre il y a quelques mois, le personnage n'en est plus un. Il s'agit de l'auteur, Jeanette Winterson. Elle écrit sans fard le " roman vrai " d'une vie : la rigueur mystique d'une mère adoptive à l'esprit étroit, l'Angleterre des années 60, les démons de la dépression.

Comment devient-on écrivain alors qu'on se destinait à entrer dans les ordres ? Elle nous raconte sa trajectoire hors du commun. Dans une maison interdite aux livres, elle a su malgré tout nourrir et préserver la toute-puissance de l'imaginaire.
Ce texte exceptionnel est surtout le récit d'une quête d'identité, celle de Jeanette et, à travers elle, de toutes les femmes engagées dans la bataille pour leur liberté. Mères, amantes, amies, écrivains, modèles, adorées ou honnies, Jeanette Winterson leur rend hommage dans ces mémoires d'une jeune fille issue du prolétariat de Manchester.

Rien ne s'oppose à la nuit de Delphine DE VIGAN


"Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l'écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd'hui je sais aussi qu'elle illustre, comme tant d'autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence."

Deux livres bouleversants sur les relations ambigües dans les familles, le rôle des parents mais aussi des fratries.

C’est vrai que je suis plus réceptive à ces sujets avec les évènements qui ont traversés ma vie ces derniers temps…

Aujourd’hui nous avons fêté nos 43 ans de mariage, pour l’instant au sein de ma famille maternelle nous détenons  le record de longévité. Il est bien entendu que j’espère en fêter d’autres même si cela n’a pas été toujours facile ni sans heurts… comme dans beaucoup de couple….

Il faut dire que dans ma famille une certaine « malédiction » semblait s’acharner sur les hommes qui ne dépassaient pas l’âge de 37 ans, sauf mon arrière grand-père maternel…. Mon grand-père maternel, mon père, mon oncle….

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Commentaires
D
je suis ravie d'avoir de tes nouvelles !<br /> <br /> bises de Nantes<br /> <br /> Delphine
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